SON PARCOURS ?

Dans sa première vie et durant 15 ans, il a été chimiste dans une start-up franco-américaine basée entre Montpellier et Boston. Une belle aventure dans laquelle il a grandi et connu la vraie succès story,  grâce à  la mise au point d’un médicament anti-hépatite B, la start-up a rapidement été cotée en bourse et rachetée en partie par Novartis en 2006.

Ce designer de molécules  a toujours eu en tête de créer sa propre structure dans l’art et le design objet. Artiste de la première heure, puisque également musicien, ce scientifique / créateur a changé de  cap en 2015 avec la conviction de la nécessité d’une vie plus en adéquation avec ses envies et besoins.

«Je voulais  inventer mon métier, être libre »

L’IDEE ?

Il s’est lancé après une trouvaille : celle d’un vieux radiateur rouillé et cabossé découvert dans le grenier familial en Auvergne. Il était abandonné mais son design était vraiment inspirant. Il le voyait bien chez lui, mais avec un autre aspect et une autre utilité.

Une fois transformé, il a suscité un fort intérêt auprès de son entourage. Il a  alors chiné et créé plusieurs lampes sur demande, puis communiqué sur les réseaux sociaux. L’engouement a été tel qu’il a rapidement dû se structurer via une couveuse artistique. L’histoire ArtJL est ainsi née.

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » disait Lavoisier

DESIGN & ECOLOGIE ?

L’aspect écologique est indéniable dans son travail. À l’heure du tout jetable, de l’obsolescence programmée, cet artisan  tend à prouver que l’on peut créer des produits de qualité à partir de matériaux recyclés. Pourquoi jeter et produire à nouveau alors que l’on peut transformer ? Sa démarche est avant tout citoyenne et responsable.